Accéder au contenu principal

Articles

Sélection

Sur Pascal Plante, cinéaste en série

Enfin rattrapé Les chambres rouges de Pascal Plante, que j'attendais avec impatience. Les critiques se sont bien gardés, qu'ils aient apprécié ou non le film, de faire des parallèles avec les deux précédents films du réalisateur, Les faux tatouages et Nadia, butterfly . Prise dans son ensemble, la filmographie de Plante montre qu'en prenant des points de départ toujours familiers, le réalisateur emmène le spectateur dans des contrées émotives insoupçonnées, dévoilant tantôt une histoire d'amour aussi fragile que sa mise en scène (c'est une qualité), tantôt un personnage qui doute entre documentaire et fiction, et dernièrement une révision du film de procès qui part du fait divers pour infiltrer une psychologie de l'image, pourrait-on dire. Plante est comme un Midas du mouvement, alors qu'il pourrait se vautrer dans des séquences sans âme respectant sagement les "codes du genre", il bonifie chaque séquence en insufflant un air frais comme de l...

Derniers articles

Cinéma manqué

Schopenhauer - Terrence Malick

Rentrée A travers l'orage

Des poissons petits et gros

Géographies de la solitude

Not much happens, uh ?

Immigration émancipation

Trouver la mélodie

L'intraitable Moi